Extraits de nos textes ...

j'ecris sur.....les gens au temps de louis 14

Je marchai donc dans la forêt qui séparait nos deux demeures, à Pierre et à moi. Je n'avais point pris de cape, ce que je regrettai sitôt. Pour un mois d'octobre, il faisait plutôt frais. Mais cela m'importait peu, j'avais d'autres idées en tête. Ne sachant point trop comment m'y prendre, je comptai sur le hasard pour m'aider. Une dizaine de minutes plus tard, je pus apercevoir le château de la famille Lavière. Elle s'était agrandie d'un nouveau membre depuis que je la connaissais. Une petite fille était née. Elle se nommait Marie-Ange et était née le 15 février 1620. Elle avait donc 11 ans d'écart avec Pierre. A ce jour, elle avait 4 ans. C'était une petite fille gentille, très jolie et curieuse. Mis à part ses cheveux bruns, elle ressemblait beaucoup à son frère ; les mêmes yeux chocolat, le même nez, la même bouche, la même expression du visage. Elle savait parler, encore de façon très raccourcie, et elle marchait depuis qu'elle avait 1 an. Chaque fois que je la voyais, Marie-Ange levait les bras vers moi pour que je la prenne dans mes bras. C'était tout bonnement adorable de sa part.
Tout cela montrait à quel point je connaissais bien les Lavière, de vrais amis. Mais à présent que j'approchai de plus en plus de leur château, les doutes m'amplifiaient. J'espérais que Pierre serait déjà levé et habillé, sinon que ferais-je ? L'attendrais-je ? Je n'en avais aucune idée.

J'entrai dans la cour de la demeure. Elle était plus grande que celle de Madame, et plus accueillante aussi. Les murs étaient recouverts de briques de couleur claire, et les jardins étaient presque plus grand que le château lui-même ! Il y avait, un peu plus loin, dans le fond du jardin derrière le bâtiment un accès à une autre forêt. Tout autour, signifiant les bords du terrain, on pouvait voir un ruisseau. Pour accéder à la demeure, j'empruntai donc l'un des ponts.
Époussetant ma jupe violette, remettant en place la dentelle de mon décolleté et vérifiant les soieries de mon bustier violet lui aussi, je pénétrai à l'intérieur du château. Par bonheur je distinguai un miroir placé à l'entrée. Je remis donc mieux de l'ordre dans ma tenue et arrangeai ma coiffure. Certes, je n'avais pas eu le temps de faire une œuvre d'art dans mes cheveux, j'avais juste pris quelques mèches de devant et les avait retenues à l'arrière de ma tête par un peigne. Les autres mèches tombaient jusqu'au bas de mon dos.
Un valet vint m'accueillir :
- Mademoiselle ?
- Je suis Méline Mona et je viens voir Pierre.
Le domestique eut l'air étonné :
- Mademoiselle Mona ? Dieu, que vous avez grandi ! Je vous ai vue il y a trois ans, lorsque Mademoiselle Marie-Ange est née. A présent vous êtes une belle jeune fille, si je puis me permettre, bien sûr.
- Vous pouvez, répondis-je en souriant.
Puis il me fit signe de le suivre, tout en parlant :
- M. Pierre s'est levé bien tôt ce matin, vers 6 heures me semble-t-il. Il voulait s'entraîner à l'escrime, puis faire un peu d'équitation.
- Où puis-je le trouver à présent ?
Il se gratta le menton puis réfléchit un instant. Vrai, cela faisait trois ans que je n'étais plus venue ici. Que le temps a passé vite. Me tirant de mes pensées, le valet me répondit :
- Et bien, il peut être dans la salle d'escrime, aux écuries, ou bien dans le jardin ou la forêt.
- Merci beaucoup.
Sur ce, je le dirigeai vers la cave, ce que le valet appelait « salle d'escrime ». Pierre l'avait entièrement redécorée et réaménagée. Je n'y trouvai personne et espérais bien le voir aux écuries.
C'est avec soulagement que je le vis, en train de sortir un cheval de son box. Je l'appelai tout en le saluant :
- Bonjour Pierre !
Il se retourna, visiblement étonné, et sourit en me voyant.
- Méline ? Que faites-vous là ?
- Je viens vous visiter ! Répondis-je joyeusement.
- Vraiment ? Cela me fait plaisir. J'allais justement faire un tour avec ma jument, Pallas. Vous montez à cheval ?
- Et bien, je ne sais pas trop... Je n'ai jamais fait d'équitation, avouai-je.
- Alors, montez avec moi. Je tiendrai les rênes, il vous suffira de vous tenir et tout ira bien.
J'acceptai, quelque peu perplexe. Olympia avait raison, son regard brillait étrangement.

C'est magnon !

Tu nous mettras tes textes MHP ?

Et toi, Soizic, je vais tenter de te l'envoyer par message MSN ... Sinon, je vais finir égorgée ! XD !

Bon, pour me faire pardonner, voilà un autre extrait ! C'est juste après la mort du frère de Séléné.


La vie continua. Durant six mois. Jusqu'à ce jour. Où tout s’arrêta.






Mes parents avaient voulu faire un pique-nique dans la grande prairie.

C’était un jour de soleil et de chaleur.

Moi seule avais emporté un arc, un carquois et un poignard. Comme toujours.

Moi seule étais vêtue de long. J’avais un ensemble de cuir, très près du corps et surtout, très solide, qu’Hélios m’avait offert pour mes dix ans. J’avais l’intention de m’entrainer à me battre.

Ma mère avait une robe légère, mon père un corsaire et une chemisette, Epolorina un pantalon de lin et un débardeur et Elwë avait une robe en coton que j’aimais beaucoup.

Pour une fois, j’avais tressé mes cheveux de lune.

Après avoir mangé un repas froid concocté par ma mère en toute sérénité, je jouais avec mes sœurs, tandis que ma mère ouvrait un livre et que mon père s’allongeait.

Les nuages commencèrent à s’amasser, sans pour autant nous inquiéter. Pourtant, le ciel noircissait étrangement, les nuages grossissaient de façon bizarre. Mais mes sœurs et moi jouâmes encore à notre jeu favori quelques heures encore.

Epolorina avait trois ans et demi, Elwë avait un an et demi. J’avais dix ans et demi.

Je connaissais déjà la douleur de perdre un être cher.

Je connaissais déjà l’art de la bataille.

Je connaissais déjà les massacres.

Je ne connaissais pas déloyauté.

Pas encore.

D’un seul coup, des formes émergèrent des arbres. D’apparence à peu près humaine, pour la plupart. Mais pas uniquement. Il y avait des gnomes, des trolls, des chauves-souris, des géants, des loups. Et je distinguais plusieurs races. Des vampires. Des fées. Des sorciers. Mais surtout … des Elfes. Et des hommes du Peuple de la montagne.

J’eus le temps d’analyser cela juste avant.

Juste avant que mon père ne parle.

- Pourquoi êtes-vous là ?

- Vous n’avez pas respecté votre part du pacte. Nous venons respecter la notre.

Et tout commença.

Nous étions encerclés. J’eus à peine le temps d’attraper mon arc et mes flèches. Mais surtout Elwë.

Mon esprit resta paralysé devant l’horreur de la scène.

Tous les combattants s’étaient jetés sur mes parents. Les Elfes poignardaient. Les Hommes de la Montagne tiraient. Les sorciers lançaient des sorts. Les fées éblouissaient. Les loups déchiquetaient. Les vampires mordaient. Les chauves-souris criaient. Les gnomes frappaient. Les trolls hachaient. Les géants marchaient.

Tous étaient là. Contre nous.

Plusieurs centaines.

Contre deux adultes et trois enfants.

Je vis le sang jaillir.

Je vis des bras partir.

Je vis des jambes se casser.

J’entendis des hurlements.

J’entendis les os se briser.

Je vis mes parents.

Ou ce qu’il en restait.

Deux cadavres.

Déchiquetés.

Atrophiés.

Mutilés.

Je vis Epolorina à l’agonie. Et je fus incapable de réagir.

Je ne sais toujours pas pourquoi ils ne nous ont pas attaquées tout de suite Elwë et moi.

Toujours est-il que lorsqu’ils eurent terminé leur œuvre de mort sur mes géniteurs et ma jeune sœur, ils s’avancèrent, une lueur mauvaise dans leurs yeux, vers Elwë et moi.

Alors, je me tournai, et commençai à prendre la fuite, les cris d’Elwë déchirant mes tympans. Mais ils couraient plus vite que moi.

Ils me rattrapèrent.

- Notre petit E nous aura bien servi ! Lança l’un d’eux

Ils s’emparèrent d’Elwë.

Elle hurlait. Me brisait le cœur. Je tentai de la leur arracher. Ils me prirent. Me maitrisèrent.

Ils voulaient me voir souffrir.

Ils éventrèrent l’enfant. Doucement. Devant moi.

L’horreur me statufia.

Le sang coulait à flots.

La terre en était abreuvée.

Je ne voulais pas voir cela.

Je me débattis.

Je ruai.

Je mordais.

Et ils finirent par me lâcher.

Elwë étaient par terre coupée en deux. Ses tripes sortaient de son ventre. Sion visage angélique était congestionné dans une expression de souffrance et d’horreur. C’est ce que je vis.

Je tirai des flèches. Ainsi je tuai quelques une de mes assaillants.

Et je partis en courant.






Je fuyais.

Loin.

Toujours plus loin.

Effrayée.

Horrifiée.

Trahie.

Morte de l’intérieur.

Combien de temps courrai-je ?

Je n’en sais toujours rien.

Pendant combien de temps m’ont-ils poursuivie ?

Je n’en sais toujours rien.

Je sais juste que je déchirais mon costume.

Que mes pieds étaient en sang.

Et que je ne m’arrêtais jamais. Jamais. Jamais.

Je m’arrêtais. Malgré moi.

Je me souviens de l’épuisement.

De la douleur.

Et des papillons noirs.

C'est clair que c'est pas le passage le plus joyeux ! ^^

Pour Méline, il me tarde de voir le texte modifié ! Ca va être super, je le sens !

heu...voila c nul.. mais bon je vous le met quand meme!Solange de Chevreufeuille se reveilla en sursaut, le front couvert de sueur. Elle degagea ses cheveux d'or d'un geste maladroit. Elle venait de faire un rêve...afreux. Toujours le même, d'ailleurs. Un rêve dans lequel son futur tuteur la poursuivait pour la tuer en compagnie de ses parents. Ses parents...Ils étaient morts maintenant...C'était du passé alors pourquoi y repenser. Mais elle n'arrivait pas a oublier le doux visage de sa mère. Son parfum de rose et sa voix melodieuse. Le sourire qui illuminait son visage lorsque son mari, le grand comte de Chevreufeuillle arrivait sur son beau cheval noir. Ce père que Solange aimait tant...Il representait fierement la famille des Chevreufeuille. Ce comte avait une si belle alure et il était si gentil que tous tous les paysans et gens qui se trouvait sur ses terres l'adoraientt et regreter amerement sa mort, qui était survenu il y a deux mois de cela. Elle était si étrange...celle de sa mere aussi, d'ailleurs. A leur enterement, Solange c'était juré qu'elle ne se marirait pas avant d'avoir trouver de quoi était mort ses parents et pour quelles raisons.Elle avait déjà un peu comencé en interrogeant les paysans voisins mais...plus elle essayé de découvrir la verité et plus le mystere semblait s'épaissir.

Un coup frappé a la porte l'intérompit dans ses pensés

-Entrez. Dit elle d'une voix faible

Une petite demoiselle brune entra dans la chambre rose. Elle était vétu d'une vielle robe de laine et un chale usé et qui semblait en fin de vie entourait ses maigres épaules. Cétait Marguerite, sa soeur de lait mais aussi sa seule et meilleur amie. Elle était employé comme servante chez les Chevreufeuille mais elle ne travallait pas baucoup. Elle passé plus de temps avec Solange, qui l'employait un peu comme demoiselle de compagnie.

-Solange, ton tuteur arrive dans une heure!

A la demande de Solange, les deux filles avait pris l'habitude de se tutoyer, malgrès la différence sociale qui existait entre elle.

• 
  
  Ciel ! Mon tuteur ! Je l'avais oublié celui là !Vite, aide moi a m'habiller avant que cette viellle Madame de Barosque monte. Si elle voit que je suis encore en chemisette de nuit, elle va m'etrangler !
  
  Elles éclatere de rire. Madame de Barosque était la vielle gouvernante de la famille et elle était detesté des deux filles a qui elle reproché sans cesse leur amitié qui, disait elle, n'était pas convenable.
  

Moi, j'aime bien ! C'est vrai ça, y'a une suite ?

oui...je vous la met bientot !!!!

Complètement d'accord avec vous, c'est génial!!!

C'est aps un CNI c'est juste que je veux exprimer mes sentiments!!!

C'est pour quand la suite Loulou?

Dommage...