Extraits de nos textes ...

C'est vrai que c'est super ! Allez à mon tour, je vous met le début de mon chapitre 2 ...




Elisabeth se sentait gênée. Joséphine l’avait laissée en compagnie de deux jeunes hommes qu’elle ne connaissait pas. Quoique, elle avait l’impression de connaître le blond. Et l’autre devait être de la famille de Mercade, ses cheveux bruns et son air chaleureux lui rappelait Maxime et Joséphine. Elle essaya de faire la conversation en se présentant :

- Eh bien, je suis enchantée messieurs. Je m’appelle Elisabeth Bui…

Elle s’interrompit. Non, elle n’était plus Elisabeth Buison, elle était …

- Euh…je veux dire, Elisabeth Flane de Caténis.

- Enchanté, je suis François de Belliade et voici Paul de Mercade

- Je suis le cousin de Maxime et Joséphine, précisa Paul.

Il y eut un silence. Elisabeth essaya de le meubler :

- Ce…euh…ce parc est magnifique.

- Oui absolument, répondit François. Excusez-moi mademoiselle, mais votre visage m’est familier, ne nous serions-nous pas déjà rencontrés ?

Lizzie rougit. Elle pensait la même chose mais préféra nier :

- Je ne pense pas vous connaître monsieur.

La situation était assez compliquée comme ça, elle n’allait pas en plus s’embarrasser à chercher à quel moment de sa vie elle avait pu le rencontrer. D’autant plus qu’elle ne savait plus trop où elle en était depuis quelques jours… Un domestique s’avança vers eux et les pria de le suivre. Il les emmena dans un salon, leur demanda de patienter et se retira. Lizzie était surprise. Certes elle était « l’invitée » des de Mercade mais elle avait la permission de se balader où bon lui semblait. C’était bien la première fois depuis l’arrivée de sa grand-mère qu’on l’obligeait à rester à un endroit précis.

Ils patientèrent donc quelques minutes, discutant de la pluie et du beau temps. Au bout d’un moment, on les fit entrer dans le salon adjacent, un peu plus grand. Installés confortablement dans des fauteuils de cuir, Coralie, Joséphine et Maxime discutaient. Lorsqu’ils entrèrent, ceux-ci se levèrent, en signe de salut et de respect.



Après avoir fini de conter ses « aventures » à sa famille, Maxime réfléchit. Elisabeth. Comment avait-il pu être aussi bête ? Lizzie ne pouvait être que le diminutif d’Elisabeth ! Il soupira. Il était fatigué. La porte du salon s’ouvrit alors sur son cousin. Il était accompagné de François et d’Elisabeth. Vraiment, il ne comprenait pas pourquoi elle était introduite dans le salon comme une noble. Il se leva quand même avec sa mère et sa sœur.

- Paul ! Je suis si heureuse de te voir ici !commença Coralie. Notre château est assez grand pour que tu y dormes aussi longtemps que tu le désire. Albert va t’installer dans la chambre d’amis.

C’était dit doucement, mais c’était bel et bien une invitation à se retirer. Paul remercia la maîtresse du château, salua et sortit.

- Vous devez être François de Belliade, reprit Coralie en se tournant vers lui, mon fils m’a beaucoup parlé de vous. Et, ses amis sont mes amis ! Vous pourrez aussi rester tant que vous le voulez.

- Merci beaucoup Madame, je n’abuserai pas de votre hospitalité longtemps.

- Je vous en prie monsieur, vous serez toujours le bienvenu chez nous. Notre valet va vous montrer votre chambre.

C’était dit tout aussi gentiment mais François dû se retirer également. Il ne restait plus que Lizzie, Joséphine, Maxime et Coralie.

- Elisabeth, je me dois de faire part des derniers événements au futur maître de ce château.

Lizzie acquiesça. Ils s’assirent.

- Maxime, il n’y a pas longtemps, une dame d’un certain âge est venue s’installer au château , raconta Coralie.

Maxime écoutait patiemment. Il ne comprenait pas pourquoi sa mère lui racontait cela. Mais il espérait enfin comprendre pourquoi tout le monde considérait Lizzie comme une noble alors qu’elle était juste la fille du régisseur.

- Cette dame s’appelle Charlotte Flane de Caténis. Elle est arrivée ici en grande pompe déclarant haut et fort qu’Elisabeth était sa petite-fille. Bien sûr, nous étions tous très surpris, Lizzie la première. Elle nous a alors montré des document authentiques prouvant ses quartiers de noblesse et son lien de parenté avec Elisabeth qui est donc noble. Malheureusement, Marc, son père, a disparu.

Elle s’interrompit, laissant le temps à son fils d’assimiler la nouvelle. Maxime était estomaqué. Elisabeth ? Sa Lizzie ? Elle était noble ? Il comprenait maintenant le comportement de son amie … Il ne savait pas trop s’il était content ou pas. Bien sûr, il était heureux pour elle, mais pour lui … Il ne pouvait mettre de mots sur ce qu’il ressentait mais quelque chose le gênait, il ne saurait dire quoi. Il afficha donc un sourire réjoui en la regardant. Il s’attendait à ce qu’elle lui rende son sourire, mais son regard disait plutôt « attend de voir la suite … ». Il se tourna donc vers sa mère pour qu’elle continue.

- Nous hébergeons Lizzie avant qu’elle ne parte sur ses nouvelles terres. Mais il y a quelques jours, Miss Charlotte a décidé qu’il fallait marier Elisabeth.

Alors, vous trouvez ça comment ?

Super !!!!!!!! C'est trop bien ! Lilianne ce que tu écris est vraiment excellent !

Merci beaucoup Alix, c'est trop sympa !
J'adore tes textes aussi !!!

De rien, c'est sincère !

Et merci du compliement !

Merci et derien !!!

Bon allez je vous mets le chapitre 4 en ligne !!!!!


. Et il commença : « Silvère, je te présente mon ami,

-Edouard d’Auray … le coupa l’autre qui n’était autre que Merwan.

- Voilà, il m’a devancé ! Edouard, je te présente mon nouvel ami, lui aussi policier de Mr De la Reynie. lui répliqua Vincent, tout en lui apprenant son nouveau poste.

-Quand à moi, Alexis, je te présente mon ami …

-Vincent de Grandfonds …

-Lui aussi va plus vite que moi ! Donc Vincent, je te présente mon nouvel ami, Alexis des Monges, également garde Suisse à Versailles.

- Silvère ?! s’écria Alexis

-Alexis ?! répliqua Silvère sur le même ton

-Vous … vous vous connaissez ? interrogea Merwan

-Oui ! Lui répondit Alexis, bien sûr ! Nous avons fait l’armée ensembles, puis Silvère est parti dans la police !!

-Ah, répliqua Vincent, laconique

-Ta sœur va bien ? Elle n’est toujours pas mariée ?

-Oui elle va bien, et non, elle n’est pas mariée ! Elle t’intéresse ? répliqua Alexis, taquin

-Oui … euh … Non ! Balbutia Silvère, rougissant.

-Excusez-moi, je peux m’assoir ? les interrompit une jeune fille.

-Euh … Oui. répondit Vincent troublé par cette interruption.

-Merci, répliqua la jeune fille en leur souriant. Julie de Saint-Clair, enchantée. Je suis au service de Sa Majesté la Reine.

- Edouard d’Auray, garde suisse à Versailles. Très heureux. répliqua Merwan, un sourire ironique collé aux lèvres.

-Alexis des Monges, même poste.

-Oh je crois que je connais votre sœur ! Alix, c’est bien ça ?

-Oui, elle aussi sert la Reine.

-Et vous monsieur, fit Julie s’adressant à Vincent, comment vous nommez-vous ?

-Hein ? répliqua Vincent, arraché en surprise à la contemplation de Julie. Vincent de Grandfonds, policier de Mr de la Reynie.

-Quand à moi, je me nomme Silvère des Lysias, même poste. »

Aussitôt après avoir dit son nom, Vincent détailla Julie. Elle avait un corps fin et long, une peau légèrement bronzée, était musclée, mais des muscles fins qui faisaient penser à ceux d’une athlète. Elle portait une robe longue, au corps de velours rouge bordeaux, brodé de motifs dorés et à la jupe de soie, soutenue par une crinoline, rouge vif, sans broderies. Elle avait également une cape marine qu’elle avait posée sur le dos de son siège. Son visage aurait pu servir de modèle à un sculpteur tellement il était beau. Ses cheveux noirs étaient lâchés mais retenus ici et là par des pinces pour les empêcher de tomber sur le visage. Ses anglaises tombaient paresseusement sur ses épaules. Sa bouche était rouge et bien dessinée, ses joues relevées grâce à un peu de fard. Elle possédait des yeux pers (bleus-verts) qui détaillaient tout ce qu’ils voyaient, comme pour les graver dans sa mémoire. Ces yeux enveloppaient Vincent d’un regard étrange, du même regard que … Julia ! Ce ne fut que là que Vincent réagit. Il murmura « -Julia ? » La jeune fille répondit par un hochement de tête à peine perceptible. Il était 20h00, et une jeune fille s’approcha pour prendre la commande. Celle-ci était très fine et avait une peau plutôt claire. Son corps était habillé d’une robe de toile fine, grise trop large pour elle. Cette robe avait beau être trop large elle lui couvrait à peine les chevilles, des chevilles fines ainsi que les poignets. La robe baillait à plusieurs endroits, notamment au décollette, aux manches et à la taille, ce qui en laissait deviner la finesse. Les pieds étaient chaussés de souliers noirs qui paraissaient juste à sa taille. Le visage était harmonieux et les traits purs. La jeune fille n’était pas maquillée à outrance. Son nez était en trompette, ce qui lui donnait un air légèrement espiègle, ses yeux grands et en amande étaient bleus pers, comme Julia, et laissaient filtrer surprise, lassitude, joie et inquiétude. Sa bouche était pulpeuse et bien rouge, malgré l’absence totale de maquillage. Les cheveux étaient cuivrés. La tresse qui pendait dans le dos de la jeune fille jusqu'à son coccyx laissait quelques mèches pendre autour du visage de la jeune fille (à moins que ce ne soit fait exprès !), ce qui lui donnait un air légèrement angélique. On voyait qu’elle était intelligente et gentille à ses petits riens qui font que l’on apprécie les gens avant même de les connaitrais. Pourtant Merwan, Vincent et Julia étaient perturbés par ce visage. Ce visage tellement connu et pourtant si déplacé et inconnu dans cette situation. Julia fut la première à reconnaitre la jeune fille qui leur faisait face. D’ailleurs son visage s’éclaira et se relaxa. La jeune fille prit la commande et revint quelques minutes plus tard. Elle posa les assiettes et les verres, puis le pain et l’eau. Julia se mordait les lèvres en l’attente d’un signe quelconque qui confirmerait ses hypothèses. La jeune filles pressa légèrement son bras et lui indiqua discrètement son assiette. Julia ficha ses yeux dans ceux de la jeune fille et n’y lut que de l’espoir. La jeune servante repartit et Julia bougea légèrement son assiette et trouva dessous un petit papier plié en quatre. Elle le prit, le déplia et le lut :


Qu'en pensez vous ???

Eh.... vous êtes vraiment trop douées...

Elle est super la description de ton personnage !

Merci beaucoup !!!

C'est vrai que c'est génial !!

Super sympa merci !

Ben c'est vrai en même temps ! Hein les filles ?

je suis d'accord Alix pour mettre des extraits de texte. Je veux bien mettre le chapitre 1 de mon texte si ça intéresse...

ben tu vas sur "profil" (dans la barre du menu en doré) et ensuite tu vas voir sur "avatar" (à droite, juste au dessus de "enregistrement", c'est un petit lien dans le fonds bleu marine) et après tu fais "parcourir" pour mettre ton image.
Voili voilou...

ET pour tes esxtraits de textes, bien sûr ça intéresse !

Chapitre 1: UN DÉPART SOUDAIN.
Je suis née le 26 Septembre de l'an 1609. Ma famille et moi habitions une vieille bâtisse à peine plus grande qu'un arbre. Malgré l'affection de mes parents et de mes frères et sœurs, la vie nous était fort dure ; nous étions 8 et le grain ne levait pas. Peu à peu, la misère s'emparait de nous. Après un mois de lutte, s'en fût trop pour mes parents. Il fallait éliminer un enfant. J'étais la moins importante, la plus petite, mon destin était donc fixé. Je ne pouvais protester, j'étais un nourrisson, ignorant de ce qui lui arrivait. Cependant, un miracle se produisit. Diane, de 13 ans mon aînée, avait surpris la conversation de mes parents, et, incapable de m'abandonner, elle imagina une meilleure solution : je partirais avec elle chez Mme la Marquise Eléonore de Lanse, qui cherchait une couturière. La marquise était seule dans son immense château, et se lassait. Un nourrisson ne devait que la ravir. Ma sœur et moi partîmes pendant la nuit. Diane portait la précieuse chaîne de notre lignée au cou. Diane marcha
longtemps, s'arrêta un instant, puis repartit. Ce n'était pas le moment d'abandonner. Nous n'étions pas loin de la maison et nos parents auraient pu nous rechercher vitement. Il fallait arriver à l'aube.
- Espérons seulement que la place soit encore libre, soufflait ma sœur.
La nuit était noire et silencieuse. Ce calme m'intrigua et m'effraya à la fois. Je le manifestais par mes larmes et mes cris. Diane plaqua sa main contre ma bouche et tenta de me calmer ; la situation était grave, il fallait rester discrètes. Je ne parvenais à m'endormir malgré les
berceuses de ma sœur. Elle avait la voix essoufflée et haletait. Je restais donc éveillée le long du trajet.

Lorsque nous arrivâmes au petit matin, une domestique nous accueillit :
- Vous venez pour ?
- Je viens mander une place auprès de Mme de Lanse.
- Suivez-moi, je vais faire appeler Madame.
Elle avait le teint pâle, les cheveux poudrés de gris, des habits noirs. Elle n'était point accueillante et me faisait peur. Je hurlais et gigotait dans les bras de Diane. Alertée par mes cris, Mme de Lanse arriva, vêtue d'une longue robe pourpre ornée de dentelle de France, et
parée de diamants voyants. A sa vue, je me calmais. Elle avait l'air fort sympathique et toute cette dentelle qui virevoltait dans l'air m'amusait. Diane plongea dans une profonde révérence et se présenta :
- Mme de Lanse, je me nomme Diane Mona et je viens pour la place de couturière.
- J'en suis fort aise, personne ne se présentait. Il est vrai que j'habite dans une maison totalement isolée. Venez, je vous prie, installez vous donc dans ce fauteuil, nous ferons plus ample connaissance.
Elle s'installa sur son divan, tandis que Diane s'assis dans un fauteuil, me tenant dans ses bras.
- Alors, dit aimablement la marquise, comment se nomme cet adorable nourrisson ?
- Méline Mona, Madame. C'est ma sœur, elle a 2 mois.
- Méline... un prénom noble, n'est-ce pas ? Le seriez-vous ?
- Non, bourgeois, nia la jeune fille, nous possédons ma foi un château assez confortable.
- Je vois. Quel âge avez-vous?
- J'ai trei... quinze ans, Madame.
- Fort bien. Tout est prêt dans votre chambre. Montez les escaliers, longez le couloir de droite, puis dernière porte à gauche.
- Mais, Madame, où logera Méline ?
- TOUT est prêt dans votre chambre.
Diane n'insista pas. Elle monta les escaliers couverts d'un tapis rouge et or, traversa le couloir, et arriva dans sa chambre. C'était une pièce charmante aux couleurs chaleureuses et au confort recherché. Il y avait un lit, une petite table à coté, une bibliothèque et un prie-dieu. Diane parcourut la bibliothèque. Jamais de sa vie elle n'avait lu de livres. Elle caressa du bout des doigts les couvertures de chaque ouvrage. Elle se tourna ensuite vers le lit. Il était jaune et semblait confortable. Je gazouillais en apercevant une petite robe blanche posée sur le lit à côté de la tenue de couturière de ma sœur. Caché derrière la bibliothèque se trouvait un berceau. Diane sourit et me posa dedans.
- Repose toi mon ange, me murmura-t-elle, la nuit a été rude.
Elle me baisa le front, ce qui m'apporta un petit rire et un bien immense. Je m'endormis avec la vision de Diane, lisant un livre sur son lit.

Voilà ! Si vous voulez bien, vos commentaires sont les bienvenus !

C'est super ! J'adore ton style !

C'est pas grave ne t'inquiète pas ! Et merci pour le compliment !

c'est vrai ton texte il est super:D ton texte

Tu parles pour qui ?

Les deux mais surtout départ soudain car je l'ai déja lu voyage