Extraits de nos textes ...

j'espère bien... , ce serai trop cool!!!

Chapitre 6 : Une surprise de taille
Les jours se succédaient, tous semblables. Je me sentais de plus en plus seule et s'il n'y avait pas Pierre et Clémence, il y aurait longtemps que j'aurais déchanté. Ma vie me semblait bizarre. Jamais je ne m'étais sentie aussi triste, aussi étrange. Il m'arrivait de pleurer pour rien, de devenir d'un coup en colère ou bien joyeuse. Quand j'essayais d'en parler à quelqu'un, le courage retombait et je déviais la conversation. Je n'étais plus la même Méline. Je n'étais plus la petite fille gaie et pleine de vie d'autrefois. A présent, j'étais malheureuse avec tous ces évènements, je le sentais bien.
Ma plus grand peur je pense, était de rester comme cela à jamais. Car j'avais grandi. Et si à chaque fois que l'on grandissait on devenait triste, je préférais encore abandonner.
Mes instants de bonheur je les vivais avec Pierre, lorsque nous étions tous les deux. Ou bien encore au cours de danse, avec Clémence. Nos relations s'étaient renforcées, nous étions devenues proches en quelque temps. Notamment car elle me rappelait la petite fille que j'étais. Clémence était presque toujours joyeuse, souriante, drôle. Tout le contraire de moi, c'est peut-être ce qui nous rapprochait.
La danse était devenue une activité que j'aimais beaucoup, elle me permettait d'oublier et de m'exprimer. Et puis j'aimais toutes les sortes d'art ; peinture, théâtre, chant, musique...
Ce jour-là nous étions le 14 octobre et le temps était des plus tristes. La pluie tombait sans s'arrêter, l'orage grondait, et il faisait un froid glacial. Pour tout arranger, le cours de danse avait été annulé ! Heureusement, on toqua à la porte de ma chambre. Peut-être un de mes amis venaient me visiter. J'allai ouvrir. Ce n'était ni Clémence, ni Pierre mais Olympia ! Pour une fois qu'elle venait me voir, j'en profitai ; je lui sautai dans les bras. Elle vacilla un peu, surprise et étonnée par cet accueil. Derrière elle, je vis Isabeau. A ce jour, elle avait 15 ans. C'était une jeune fille assez grande et maigre. Elle avait de longs cheveux blonds et des yeux verts, comme Olympia. Elle était souvent triste, je ne savais pas exactement pourquoi. Nous aurions pu toutes les deux être amies, mais cela ne s'était jamais fait. Isabeau était une personne plutôt réservée, et à chaque fois que j'essayais de lire dans ces yeux un sentiment, il me semblait sentir qu'elle était encore fragile et traumatisée par son enfance chez des malfaisants. Cela était compréhensible, et donc je n'essayais pas de lui parler. Elle me rappelait Olympia, lors de mon arrivée ici. Elle était aussi distante, et à présent je tenais beaucoup à elle.
Quoi qu'il en soit, que Lympia trouve du temps pour moi me faisait toujours énormément plaisir. Je la fis entrer, elle et sa fille dans ma petite chambre. Elles s'assirent sur le lit de Diane et je m'assis à côté d'Olympia. Nous commençâmes la discussion :
- Alors, comment vous sentez-vous, Méline ? demanda Olympia
- Mieux, je vais mieux. Bien sûr, Diane me manque beaucoup... Et puis cela ne fait que 18 jours qu'elle est partie.
- Et bien, vous ne serez pas déçue Méline.
Je fronçai les sourcils de façon interrogative. A cet instant apparut Diane à la porte de ma chambre. Je crus d'abord que je délirai. Puis quand je compris enfin que c'était bien elle, mon cœur fit un bond dans ma poitrine et un poids immensément lourd se ôta de mes épaules. Sans retenue, je sautai au cou de ma sœur et enfouis ma tête dans ses cheveux. Elle rit un peu, d'un rire frais et doux. Visiblement, Olympia et Diane étaient contentes de leur surprise. Moi, j'étais ravie !
Quelques minutes plus tard, je relâchai ma sœur et elle dit à Olympia et Isabeau :
- Merci encore d'avoir organisé tout cela, Olympia. Maintenant, si cela ne vous dérange pas, j'aimerais beaucoup discuter avec Méline...
- Bien sûr, répondit la jeune femme, nous vous laissons entre sœurs... Viens Isabeau.
Et elles sortirent toutes deux. Une fois la porte fermée, Diane s'assit sur mon lit et me fit signe de la rejoindre. Je m'installai donc, en tailleur. Ma sœur débuta tout de suite :
- Méline, je suis bien heureuse de vous revoir. Mais j'ai quelque chose qui ne me plaît en rien à vous dire.
- Est-ce grave Diane ?
- Assez, oui. Il est très difficile pour moi d'en parler, si vous saviez comme j'ai honte.
- Confiez-vous, cela vous fera du bien.
Diane se leva et arpenta la pièce. Elle trifouillais sa jupe de ses mains et mordais sa lèvre inférieure nerveusement. Ma sœur se décida enfin :
- J'espère que cela ne vous choquera point... Et que vous ne me mépriserez pas non plus.
- Bien sûr que non, Diane !
Inspirant une grande bouffée d'air, elle bredouilla :
- Méline, je...je suis enceinte.

^^ , et la suite?

grr...
bref, je vais pas commencer.
Mais c'est pour quand?

le plus tôt possible, j'espère

Je m'en doutais ! Je le savais ! C'était trop évident que Diane était enceinte !
Mais iml me tarde de voir la réaaction de Méline ...

Petit cadeau, un extrait de Séléné :


Un week-end, Séléné avait accompagné les jumeaux en ville. Zora voulait se trouver de nouveaux vêtements et disait avoir besoin d’un regard d’un garçon et d’un regard de fille. Alors, son frère et son amie l’avaient suivie en, souriant.

Après tut le samedi, o presque, passé en ville, tous eurent besoin d’un rafraîchissement vers 17h00.

Alors, ils allèrent s’asseoir sur la terrasse d’un bar.

De la terrasse on surplombait la route où les voitures roulaient vite. Très vite. Trop vite.

On surplombait également une fontaine.

Près du trio, un jeune couple et leur enfant de deux ou trois as s’étaient installés.

Lorsque le serveur arriva, il parut charmé par Séléné. Il devait avoir un ou deux ans de plus qu’eux et il se croyait très certainement irrésistiblement beau avec ses trois poils de barbe au menton.

- Bonjour messieurs dames ! Vous avez choisi ?

- Oui, répliqua Deimos.

- Alors, ce sera …

- Un Coca pour moi répondit le jeune homme.

- Un milk-shake cerise pour moi, commanda Zora.

- E pour vous belle demoiselle ? Demanda alors le serveur à l’intention de Séléné.

- Une limonade s’il vous plaît.

- C’est noté !

- Ah, et, puis-je me permettre une remarque ?

- Oui, bien sûr mademoiselle, répliqua le serveur interloqué.

- Votre technique de drague est nullissime monsieur arbre déplumé ! Si vous voulez mon avis vous devriez la changer et vous raser si vous ne voulez pas vous prendre des refus en masse !

Le jeune homme parut sonné et repartit sans un mot.

Quant aux trois amis, ils éclatèrent de rire.

Puis, le jeune home revint avec les boissons.

Les jeunes gens les sirotèrent, tout e, badinant.

Jusqu’au moment où un cri venant de la table d’à côté retentit.

Tout se passa alors très vite.

Séléné se tourna et voyant que l’enfant n’était plus avec ses parents statufiés elle le chercha du regard.

Pour le trouver immédiatement, sur le bord de la barrière de la terrasse prêt à tomber sur la route. Et les voitures ne se rendaient compte de rien.

Alors, les réflexes prirent le dessus sur la raison.

Séléné bondit de sa chaise et, avec une rapidité phénoménale fut sur la barrière et rattrapa l’enfant par le pantalon, alors qu’il avait amorcé sa chute.

Mais l’action s’était passée en moins de vingt secondes.

Séléné serra l’enfant contre elle et le ramena à ses parents.

Tout en se traitant mentalement de touts les noms.

Alors que le couple la congratulait, elle répondit un très sec « De rien » puis elle pivota sur ses talons et, entraînant les jumeaux éberlués par une telle réaction, elle partit vers la sortie du centre-ville, et donc sa maison.

Et, dès ce jour-là et sans véritable explication, elle refusa toujours d’accompagner qui que ce soit en ville.

Ben ... non !

Ils ont du mal à comprendre d'ailleurs ! En fait, c'est passage rajouté, juste avant le Spectacle de Noël ... Et ils savent pas. Les pauvres !

Enfait, je suis pas trop dans l'histoire, la, alors...

Chapitre 7 : La promesse de sang
Étonnée, je me demandai en quoi cela était méprisable. C'était merveilleux ! Diane, enceinte de son époux ! Mais, comment cela était-il possible qu'elle le sache déjà ? Cela ne faisait que 20 jours que Auguste de Belignet était revenu ! Certes, je n'étais pas une experte en la matière, mais je savais un minimum de choses sur la façon dont les bébés arrivent dans le ventre de la mère. Je m'intriguai devant Diane, qui avoua :
- Non, mon mari n'est pas le père. Le mal a été fait lorsqu'Auguste était encore en guerre.
J'étais, je l'avoue, plutôt déçue par Diane. Jamais, au grand jamais, je n'aurais cru qu'elle fut capable d'une telle infidélité. Ma sœur, d'ordinaire si sage et si calme, commettant un tel acte ? Toutefois, j'étais plutôt fière de moi ; j'étais assez grande pour que Diane jugeât bon de me parler de tels sujets. Ainsi, je continuai la conversation, curieuse des moindres détails :
- Mais, alors s'il ce n'est votre mari, qui est le père ?
- Méline, commença ma sœur, vous souvenez vous la petite fête organisée par les du Vallerais ?
- Bien sûr. C'était une très belle fête. M. et Mme du Vallerais avait fait tout pour que ce soit réussi. C'était le 27 juillet il me semble. Nous nous y sommes beaucoup amusées.
- Oui et bien, parmi les invités, j'ai rencontré un certain marquis Jean de Lovanois. Au fil de la soirée, nous avons discuté..
- Et......?
Diane marqua une pause, se racla un peu la gorge et répondit à ma question :
- Et nous nous sommes revus plusieurs fois. Mais Méline, vous savez j'ai vraiment éprouvé de l'amour, je vous le jure.
Quelques larmes tombèrent sur ses joues fardées. Elle sortit un mouchoir de son petit sac et essuya doucement ses pleurs. Je sentais que ma sœur était sincère, qu'elle avait honte et qu'elle souffrait à l'idée de faire du mal à son époux. Bien que j'aurais voulu l'aider, je ne pouvais rien faire, si ce n'est la réconforter. Je me devais de lui rendre le sourire. Diane m'avait tant aidée jadis, c'était à présent mon tour de faire quelque chose pour elle. A cet instant, j'en fis le serment.
Cherchant dans ma tête quoi que ce soit qui aurait pu la rendre heureuse, je passai un bras autour de ses épaules et posai ma tête sur son bras.
Jean de Lovanois, je m'en souvenais très bien. C'était un homme timide, réservé. Certes, à la cour il n'était pas un homme beau selon les critères de mode. Mais il restait quelqu'un possédant une beauté différente de celles de France. Ses cheveux courts brun très foncé et ses yeux de même couleur lui appropriaient un charme rare. Il était un peu plus grand que Diane et arborait quelques muscles . Il avait la peau bronzée, contrairement aux critères de Versailles. On y préférait les peaux blanches. C'est pour ces raisons que je m'étais toujours dit qu'il ressemblait à un aborigène, un indien. J'étais étonnée d'apprendre que ma sœur l'aimait. Mais de quelle ampleur était son amour ? Jean aimait-il Diane lui aussi ?
- Diane, demandai-je, combien de fois vous êtes-vous revus ?
- Je ne sais pas trop... Pendant tout le mois d'août, au moins toutes
les semaines.
- Et depuis quand êtes-vous enceinte ?
- Depuis le 12 août, répondit ma sœur.
Ainsi, elle en était sûre ; c'était la première et dernière fois. Continuant mon enquête :
- Mais alors, vous ne vous êtes plus vus après le 12 août ?
- Si, mais nous n'étions jamais seuls à partir de ce moment-là. Méline, vous semblez sceptique.
- C'est vrai que j'ai du mal à...imaginer une telle chose.
- Je vous en prie, ne me méprisez point... Je ne suis pas fière. Je vous demande votre soutien, mon cœur.
Même si elle s'était conduite de façon ingrate envers son mari et que son honneur était à présent à moitié évaporé, elle restait ma sœur. Ma sœur qui m'avait aidée jadis. Si j'avais vécu jusqu'à présent une vie dorée, c'était grâce à elle. Je lui devais tout. C'est peut-être cela qui me décida à lui faire confiance et lui promettre mon assistance.
Très délicatement, elle me serra dans ses bras, me berça un peu et caressa mes cheveux. J'avais fait le bon choix, j'en étais sûre.
- Je suis très fière de vous, Méline.
Mon Dieu, cette phrase m'était si douce... On aurait dit du miel sur mon cœur meurtri. Jamais je ne trouverai les mots pour remercier ma sœur, ils étaient trop forts pour qu'on les exprime.
Nous nous séparâmes toutes deux à regret. Seulement, je me sentais mieux à présent.

C'est mignon !

Petite précision pour Séléné:
La jeune fille vit sur Terre, alors qu'elle est un métissage d'Elfe et d'Homme de la Montagne, peuples se haïssant mutuellement. Elle s'est réfugiée sur notre planète pour se protéger. ici, elle se fait deux amis qui ne savant rien d'elle, Zora et Deimos,; des jumeaux. Là, ils sont partis en ville ensembles.

Merci Lilix, je comprend mieux à présent!;;;
C'est cool la suite, Loulou...

^^

la suite?

t'en a encore combien, de chapitres?

t'as encore des idées?

cool!!!